François-René de Chateaubriand : Atala, ou les amours de deux sauvages dans le désert

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Les douleurs ne sont point éternelles: il faut tôt ou tard qu’elles finissent, parce que le coeur de l’homme est fini; c’est une de nos grandes misères: nous ne sommes pas mêmes capables d’être longtemps malheureux. François-René de Chateaubriand : Atala, ou les amours de deux sauvages dans le désert