Les années, les heures ne sont pas des mesures certaines de la durée de la vie. Une longue vie est celle dans laquelle nous vivons à tous les instants et nous nous sentons vivre.

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Les années, les heures ne sont pas des mesures certaines de la durée de la vie. Une longue vie est celle dans laquelle nous vivons à tous les instants et nous nous sentons vivre. Les années, les heures ne sont pas des mesures certaines de la durée de la vie. Une longue vie est celle … Lire la suite­­

Ici-bas tous les lilas meurent, Tous les chants des oiseaux sont courts, Je rêve aux étés qui demeurent Toujours. ..

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Ici-bas tous les lilas meurent, Tous les chants des oiseaux sont courts, Je rêve aux étés qui demeurent Toujours. .. Ici-bas tous les lilas meurent, Tous les chants des oiseaux sont courts, Je rêve aux étés qui demeurent Toujours. .. Sully Prudhomme Le Dico des citations Les nouvelles citations

Souvent aussi la main qu’on aime, Effleurant le coeur, le meurtrit ; Puis le coeur se fend de lui-même, La fleur de son amour périt ;.

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Souvent aussi la main qu’on aime, Effleurant le coeur, le meurtrit ; Puis le coeur se fend de lui-même, La fleur de son amour périt ;. Souvent aussi la main qu’on aime, Effleurant le coeur, le meurtrit ; Puis le coeur se fend de lui-même, La fleur de son amour périt ;. Sully Prudhomme Le … Lire la suite­­

Les hommes ne font des lois que pour les violer, et ce qu’il y a de pis, c’est qu’ils les violent en conscience. Ils ne se servent de la pensée que pour autoriser leurs injustices, et n’emploient les paroles que pour déguiser leurs pensées.

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Les hommes ne font des lois que pour les violer, et ce qu’il y a de pis, c’est qu’ils les violent en conscience. Ils ne se servent de la pensée que pour autoriser leurs injustices, et n’emploient les paroles que pour déguiser leurs pensées. Les hommes ne font des lois que pour les violer, et … Lire la suite­­

De toutes les merveilles de la nature, la plus étonnante, c’est l’homme. C’est lui qui, poussé par les vents orageux, traverse les mers blanchissantes, et fend les flots qui mugissent autour de lui ; il fatigue la terre, cette déesse vulnérable, immortelle, inépuisable, en déchirant son sein chaque année avec la charrue que traine un laborieux coursier.

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De toutes les merveilles de la nature, la plus étonnante, c’est l’homme. C’est lui qui, poussé par les vents orageux, traverse les mers blanchissantes, et fend les flots qui mugissent autour de lui ; il fatigue la terre, cette déesse vulnérable, immortelle, inépuisable, en déchirant son sein chaque année avec la charrue que traine un … Lire la suite­­