Oh la jeunesse ! La jeunesse ! Que c’est beau ! Et contente à si peu de frais. On n’a jamais rien inventé, on n’inventera jamais rien de mieux.

Ajouter un commentaire

Oh la jeunesse ! La jeunesse ! Que c’est beau ! Et contente à si peu de frais. On n’a jamais rien inventé, on n’inventera jamais rien de mieux. Oh la jeunesse ! La jeunesse ! Que c’est beau ! Et contente à si peu de frais. On n’a jamais rien inventé, on n’inventera jamais … Lire la suite­­

Le corps, la chair des femmes, est le premier environnement –le premier monde accueillant ou rejetant, le premier milieu naturel et culturel, physiologique, mental, charnel, verbal, inconscient où se forme, se crée et grandit l’être humain, où l’espèce humaine se génère. J’ai dit là que le génie, la génitalité, la génialité étaient à reconquérir, et que c’était là l’enjeu du XXIe siècle.

Ajouter un commentaire

Le corps, la chair des femmes, est le premier environnement –le premier monde accueillant ou rejetant, le premier milieu naturel et culturel, physiologique, mental, charnel, verbal, inconscient où se forme, se crée et grandit l’être humain, où l’espèce humaine se génère. J’ai dit là que le génie, la génitalité, la génialité étaient à reconquérir, et … Lire la suite­­

La face lumineuse de la procréation n’a pas été gratifiée. Les femmes sont le terroir de l’espèce, corps d’accueil, mémoire et généalogie de la ressource humaine, du capital pensant, qu’elles renouvellent et restaurent, grossesse après grossesse, génération après génération, sens, à la fois direction et signification, de l’Histoire dans le futur.

Ajouter un commentaire

La face lumineuse de la procréation n’a pas été gratifiée. Les femmes sont le terroir de l’espèce, corps d’accueil, mémoire et généalogie de la ressource humaine, du capital pensant, qu’elles renouvellent et restaurent, grossesse après grossesse, génération après génération, sens, à la fois direction et signification, de l’Histoire dans le futur. La face lumineuse de … Lire la suite­­

La poésie n’est pas refus ou survol de la vie ; mais plutôt une manière de la multiplier, de rendre compte de sa largesse. Elle témoigne aussi d’une soif qui nous hante, d’un sens impénétrable qui nous tient en haleine, d’une densité que le quotidien dilapide trop souvent.

Ajouter un commentaire

La poésie n’est pas refus ou survol de la vie ; mais plutôt une manière de la multiplier, de rendre compte de sa largesse. Elle témoigne aussi d’une soif qui nous hante, d’un sens impénétrable qui nous tient en haleine, d’une densité que le quotidien dilapide trop souvent. La poésie n’est pas refus ou survol … Lire la suite­­