J’aime les ragoûts littéraires fortement épicés, les œuvres de dédacence où une sorte de sensibilité maladive remplace la santé plantureuse des époques classiques. Je suis de mon âge.

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J’aime les ragoûts littéraires fortement épicés, les œuvres de dédacence où une sorte de sensibilité maladive remplace la santé plantureuse des époques classiques. Je suis de mon âge. J’aime les ragoûts littéraires fortement épicés, les œuvres de dédacence où une sorte de sensibilité maladive remplace la santé plantureuse des époques classiques. Je suis de mon … Lire la suite­­

Elle est incapable de résoudre le bordel de sa propre vie, mais elle sait aider les autres même si elle est un peu trop jolie pour une psy

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Elle est incapable de résoudre le bordel de sa propre vie, mais elle sait aider les autres même si elle est un peu trop jolie pour une psy Elle est incapable de résoudre le bordel de sa propre vie, mais elle sait aider les autres même si elle est un peu trop jolie pour une … Lire la suite­­

Ami regarde-moi, j’ai le cœur qui renverse, La mémoire de ses yeux qui me colle à la peau Et dans les bars du port je cherche magie noire Pour délivrer mon corps du sort qu’on m’a jeté

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Ami regarde-moi, j’ai le cœur qui renverse, La mémoire de ses yeux qui me colle à la peau Et dans les bars du port je cherche magie noire Pour délivrer mon corps du sort qu’on m’a jeté Ami regarde-moi, j’ai le cœur qui renverse, La mémoire de ses yeux qui me colle à la peau … Lire la suite­­

Douze pâtés de maisons seulement les séparaient de la rue où logeait Sean, mais celle-ci se trouvait au nord de cette même avenue, en plein dans la zone du Point or ceux du Point et deux des Flats ne se mélangeaient pas beaucoup.

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Douze pâtés de maisons seulement les séparaient de la rue où logeait Sean, mais celle-ci se trouvait au nord de cette même avenue, en plein dans la zone du Point or ceux du Point et deux des Flats ne se mélangeaient pas beaucoup. Douze pâtés de maisons seulement les séparaient de la rue où logeait … Lire la suite­­

Quelque vanité qu’on nous reproche, nous avons besoin quelquefois qu’on nous assure de notre mérite.

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Quelque vanité qu’on nous reproche, nous avons besoin quelquefois qu’on nous assure de notre mérite. Quelque vanité qu’on nous reproche, nous avons besoin quelquefois qu’on nous assure de notre mérite. Luc de Clapiers, marquis de Vauvenargues Le Dico des citations Les nouvelles citations