Comment peut-on s’attendre à voir les hommes recevoir de bonne grâce les conseils qu’on leur donne sur leur conduite quand on les voit rejeter avec dédain les avertissements qui regardent un danger présent qui les menace.

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Comment peut-on s’attendre à voir les hommes recevoir de bonne grâce les conseils qu’on leur donne sur leur conduite quand on les voit rejeter avec dédain les avertissements qui regardent un danger présent qui les menace. Comment peut-on s’attendre à voir les hommes recevoir de bonne grâce les conseils qu’on leur donne sur leur conduite … Lire la suite­­

On fait quelquefois dans le monde un raisonnement bien étrange. On dit à un homme, en voulant récuser son témoignage en faveur d’un autre homme : C’est votre ami. Eh ! morbleu, c’est mon ami, parce que le bien que j’en dis est vrai, parce qu’il est tel que je le peins. Vous prenez la cause pour l’effet, et l’effet pour la cause. Pourquoi supposez-vous que j’en dis du bien, parce qu’il est mon ami ? et pourquoi ne supposez-vous pas plutôt qu’il est mon ami, parce qu’il y a du bien à en dire ?

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On fait quelquefois dans le monde un raisonnement bien étrange. On dit à un homme, en voulant récuser son témoignage en faveur d’un autre homme : C’est votre ami. Eh ! morbleu, c’est mon ami, parce que le bien que j’en dis est vrai, parce qu’il est tel que je le peins. Vous prenez la … Lire la suite­­

– Vous voyez ? Bertolt Brecht avait raison… Les Allemands ne pourront jamais faire de révolution, parce qu’ils ne peuvent pas prendre une gare s’ils n’ont pas leur ticket de quai.

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– Vous voyez ? Bertolt Brecht avait raison… Les Allemands ne pourront jamais faire de révolution, parce qu’ils ne peuvent pas prendre une gare s’ils n’ont pas leur ticket de quai. – Vous voyez ? Bertolt Brecht avait raison… Les Allemands ne pourront jamais faire de révolution, parce qu’ils ne peuvent pas prendre une gare … Lire la suite­­

Le regard tourné vers ses yeux verts et vifs comme la jalousie, je ne voyais plus que lui. Il s’est penché, nos bouches se sont effleurées et nos bras enlacés. Son contact, son odeur, son goût… j’ai cru que mon cœur allait éclater.

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Le regard tourné vers ses yeux verts et vifs comme la jalousie, je ne voyais plus que lui. Il s’est penché, nos bouches se sont effleurées et nos bras enlacés. Son contact, son odeur, son goût… j’ai cru que mon cœur allait éclater. Le regard tourné vers ses yeux verts et vifs comme la jalousie, … Lire la suite­­