Le lion ne savait pas écrire. Mais ça lui bien était, car il savait rugir et montrer les crocs. Et pour le lion s’était bien suffisant.

Ajouter un commentaire

Le lion ne savait pas écrire. Mais ça lui bien était, car il savait rugir et montrer les crocs. Et pour le lion s’était bien suffisant. Le lion ne savait pas écrire. Mais ça lui bien était, car il savait rugir et montrer les crocs. Et pour le lion s’était bien suffisant. Martin Baltscheit Le … Lire la suite­­

Les plus belles années d’une vie sont celles qu’on ne connaît pas, qui arrivent, qu’on va vivre, pendant lesquelles on subira des métamorphoses dont on n’a pas idée, jusqu’à la grande métamorphose finale, aussi intéressante et désirable que les autres.

Ajouter un commentaire

Les plus belles années d’une vie sont celles qu’on ne connaît pas, qui arrivent, qu’on va vivre, pendant lesquelles on subira des métamorphoses dont on n’a pas idée, jusqu’à la grande métamorphose finale, aussi intéressante et désirable que les autres. Les plus belles années d’une vie sont celles qu’on ne connaît pas, qui arrivent, qu’on … Lire la suite­­

Si la philosophie populaire n’existe pas, c’est qu’il existe tout aussi peu une voie de masse qu’une voie royale pour résoudre les problèmes philosophiques, et que philosopher signifie essentiellement exposer quelque chose en respectant sa complexité.

Ajouter un commentaire

Si la philosophie populaire n’existe pas, c’est qu’il existe tout aussi peu une voie de masse qu’une voie royale pour résoudre les problèmes philosophiques, et que philosopher signifie essentiellement exposer quelque chose en respectant sa complexité. Si la philosophie populaire n’existe pas, c’est qu’il existe tout aussi peu une voie de masse qu’une voie royale … Lire la suite­­

Quand on ne se sent plus en sécurité nulle part, on devient un simple gibier. Une proie, qui fuit et se retourne sans cesse, ne trouvant plus le repos

Ajouter un commentaire

Quand on ne se sent plus en sécurité nulle part, on devient un simple gibier. Une proie, qui fuit et se retourne sans cesse, ne trouvant plus le repos Quand on ne se sent plus en sécurité nulle part, on devient un simple gibier. Une proie, qui fuit et se retourne sans cesse, ne trouvant … Lire la suite­­

Il l’aimait encore, bien sûr, mais il aimait davantage cette route, de nuit, qui ne le menait nulle part, cette vie, devant lui, qui pouvait encore prendre mille formes.

Ajouter un commentaire

Il l’aimait encore, bien sûr, mais il aimait davantage cette route, de nuit, qui ne le menait nulle part, cette vie, devant lui, qui pouvait encore prendre mille formes. Il l’aimait encore, bien sûr, mais il aimait davantage cette route, de nuit, qui ne le menait nulle part, cette vie, devant lui, qui pouvait encore … Lire la suite­­

Maintenant il me faut Fès. Connaître Fès. Je ne serai pas vraiment ton fils si mes yeux ne voient pas ce que tu as vu en premier.

Ajouter un commentaire

Maintenant il me faut Fès. Connaître Fès. Je ne serai pas vraiment ton fils si mes yeux ne voient pas ce que tu as vu en premier. Maintenant il me faut Fès. Connaître Fès. Je ne serai pas vraiment ton fils si mes yeux ne voient pas ce que tu as vu en premier. Eric … Lire la suite­­

Moi c’est le contraire, rien ne me semble plus faux-cul qu’une belle photo de bonheur avec toute la quantité de malheur qu’elle promet, qu’elle contient, mais sans le dire, en cachant bien son jeu.

Ajouter un commentaire

Moi c’est le contraire, rien ne me semble plus faux-cul qu’une belle photo de bonheur avec toute la quantité de malheur qu’elle promet, qu’elle contient, mais sans le dire, en cachant bien son jeu. Moi c’est le contraire, rien ne me semble plus faux-cul qu’une belle photo de bonheur avec toute la quantité de malheur … Lire la suite­­

Je ne sais pas de spectacle plus sain, d’un comique plus réconfortant, que celui d’un monsieur recevant de main de maître une beigne qu’il avait cherché.

Ajouter un commentaire

Je ne sais pas de spectacle plus sain, d’un comique plus réconfortant, que celui d’un monsieur recevant de main de maître une beigne qu’il avait cherché. Je ne sais pas de spectacle plus sain, d’un comique plus réconfortant, que celui d’un monsieur recevant de main de maître une beigne qu’il avait cherché. Georges Courteline Le … Lire la suite­­