Les hommes sont comme les romans : avant la dernière page, on ne sait jamais comment ils finiront. Autrement, cela ne vaudrait pas la peine de les lire.
Les hommes sont comme les romans : avant la dernière page, on ne sait jamais comment ils finiront. Autrement, cela ne vaudrait pas la peine de les lire. Evgueni Zamiatine