Il est certain qu’il y a dans l’homme deux puissances occultes qui combattent jusqu’à la mort: l’une, clairvoyante et froide, s’attache à la réalité, la calcule, la pèse et juge le passé; l’autre a soif de l’avenir et s’élance! Vers l’inconnu. Quand la passion emporte l’homme, la raison le suit en pleurant et en l’avertissant … Lire la suite
Louis de Bonald : Oeuvre inconnue
Pour bien gouverner en ce monde, il faut toujours voir les hommes comme ils sont et les choses comme elles devraient être. Louis de Bonald :
Antoine Rivaroli : Oeuvre inconnue
Les moyens qui rendent un homme propre à faire fortune sont les mêmes qui l’empêchent d’en jouir. Antoine Rivaroli :
Bernard le Bouyer de Fontenelle : Oeuvre inconnue
Il est temps que je m’en aille car je commence à voir les choses telles qu’elles sont. Bernard le Bouyer de Fontenelle :
Jean Ogier de Gombauld : Oeuvre inconnue
Ci-gît qui fut un franc glouton, Qui but tout ce qu’il eut de rente, Son pourpoint n’avait qu’un bouton, Son nez en avait plus de trente. Jean Ogier de Gombauld :
Arthur Schopenhauer : Oeuvre inconnue
D’où Dante a-t-il tiré les éléments de son enfer sinon de ce monde lui-même? Pourtant, il en a fait un enfer fort présentable. Mais lorsqu’il s’est agi de construire un ciel et d’en dépeindre les joies, alors la diffculté a été insurmontable: notre monde ne lui fournissait point de matériaux. Arthur Schopenhauer :
Roger de Bussy-Rabutin : Oeuvre inconnue
Passant, ici repose un qu’on dit être mort; Je ne sait s’il l’est ou s’il dort. Sa maladie imaginaire Ne peut l’avoir fait mourir; C’est un tour qu’il joue à ravir, Car il aimait à contrefaire: C’était un grand comédien. Quoi qu’il en soit, ci-gît Molière: S’il fait le mort, il le fait bien. Roger … Lire la suite
Louis Aragon : Oeuvre inconnue
Le temps d’apprendre à vivre, il est déjà trop tard. Louis Aragon :
Félicité Robert de Lamennais : Oeuvre inconnue
On dit qu’il y a eu des anthropophages; je ne sais, mais cela n’a pas du être long; ils ont du mourir empoisonnés. Félicité Robert de Lamennais :
Jean Edmond Cyrus Rostand : Oeuvre inconnue
On ne peut aimer parfaitement que ce qu’on a perdu pour toujours. Jean Edmond Cyrus Rostand :