Une seule nuit sur ton cœur ! le reste se trouvera. Amour nous sépare encore dans le brouillard et la nuit. Oui ! je verrai le matin où l’Aurore épiera les amis, le sein contre le sein ; où Apollon, le matinal, les réveillera.
Une seule nuit sur ton cœur ! le reste se trouvera. Amour nous sépare encore dans le brouillard et la nuit. Oui ! je verrai le matin où l’Aurore épiera les amis, le sein contre le sein ; où Apollon, le matinal, les réveillera. Goethe