Comprendre, c’est faire un pas de géant vers l’autre. C’est le début du pardon. Comprendre, c’est faire un pas de géant vers l’autre. C’est le début du pardon. Grégoire Delacourt Le Dico des citations Les nouvelles citations
Archives mensuelles : novembre 2014
Tous, hommes, femmes honorons ; – Ou nous nous déshonorerons.
Tous, hommes, femmes honorons ; – Ou nous nous déshonorerons. Tous, hommes, femmes honorons ; – Ou nous nous déshonorerons. Proverbes Français
Quand on progresse dans la vieille forêt, quand on écrase sous ses bottes des branchettes perdues par les arbres, les sapins centenaires, les mélèzes noirs, quand on a le visage caressé ou battu par les mousses ruisselantes, on se trouve dans un univers intermédiaire, dans quelque chose où tout existe fortement, où rien n’est illusion, mais, en même temps, on a l’inquiétante sensation d’être prisonnier à l’intérieur d’une image, et de se déplacer dans un rêve étranger, dans un bardo où l’on est soi-même étranger, où l’on est un intrus peu sympathique, ni vivant ni mort, dans un rêve sans issue et sans durée.
Quand on progresse dans la vieille forêt, quand on écrase sous ses bottes des branchettes perdues par les arbres, les sapins centenaires, les mélèzes noirs, quand on a le visage caressé ou battu par les mousses ruisselantes, on se trouve dans un univers intermédiaire, dans quelque chose où tout existe fortement, où rien n’est illusion, … Lire la suite
On y lisait que des apédeutes de Constantinople avaient donné, en très mauvais grec, un édit contre le plus grand capitaine du siècle, parce que ce héros avait prononcé ces paroles dans la chaleur de la conversation : La vérité luit de sa propre lumière, et on n’éclaire pas les esprits avec les flammes des bûchers. Les apédeutes assurèrent que cette proposition était hérétique, sentant l’hérésie, et que l’axiome contraire était catholique, universel, et grec : On n’éclaire les esprits qu’avec la flamme des bûchers, et la vérité ne saurait luire de sa propre lumière.
On y lisait que des apédeutes de Constantinople avaient donné, en très mauvais grec, un édit contre le plus grand capitaine du siècle, parce que ce héros avait prononcé ces paroles dans la chaleur de la conversation : La vérité luit de sa propre lumière, et on n’éclaire pas les esprits avec les flammes des … Lire la suite
On n’éclaire les esprits qu’avec la flamme des bûchers, et la vérité ne saurait luire de sa propre lumière.
On n’éclaire les esprits qu’avec la flamme des bûchers, et la vérité ne saurait luire de sa propre lumière. On n’éclaire les esprits qu’avec la flamme des bûchers, et la vérité ne saurait luire de sa propre lumière. Voltaire Le Dico des citations Les nouvelles citations
La vérité luit de sa propre lumière, et on n’éclaire pas les esprits avec les flammes des bûchers.
La vérité luit de sa propre lumière, et on n’éclaire pas les esprits avec les flammes des bûchers. La vérité luit de sa propre lumière, et on n’éclaire pas les esprits avec les flammes des bûchers. Voltaire Le Dico des citations Les nouvelles citations
L’histoire n’est que le tableau des crimes et des malheurs.
L’histoire n’est que le tableau des crimes et des malheurs. L’histoire n’est que le tableau des crimes et des malheurs. Voltaire Le Dico des citations Les nouvelles citations
Comment se trouve-t-il tant d’hommes qui, pour si peu d’argent, se font les persécuteurs, les satellites, les bourreaux des autres hommes ?.
Comment se trouve-t-il tant d’hommes qui, pour si peu d’argent, se font les persécuteurs, les satellites, les bourreaux des autres hommes ?. Comment se trouve-t-il tant d’hommes qui, pour si peu d’argent, se font les persécuteurs, les satellites, les bourreaux des autres hommes ?. Voltaire Le Dico des citations Les nouvelles citations
On parla de la longueur de nos infortunes et de la brièveté de la vie ; on remarqua que chaque profession a un vice et un danger qui lui sont attachés, et que depuis le prince jusqu’au dernier des mendiants, tout semble accuser la nature. Comment se trouve-t-il tant d’hommes qui, pour si peu d’argent, se font les persécuteurs, les satellites, les bourreaux des autres hommes ?.
On parla de la longueur de nos infortunes et de la brièveté de la vie ; on remarqua que chaque profession a un vice et un danger qui lui sont attachés, et que depuis le prince jusqu’au dernier des mendiants, tout semble accuser la nature. Comment se trouve-t-il tant d’hommes qui, pour si peu d’argent, … Lire la suite
Le temps adoucit tout.
Le temps adoucit tout. Le temps adoucit tout. Voltaire Le Dico des citations Les nouvelles citations