Frédéric Soulié : Les mémoires du diable

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Le bonheur ne laisse pas de traces. Le bonheur est comme le printemps; quand il est passé, rien ne montre plus comment il a été; l’arbre se dépouille de ses feuilles et reste nu. Mais quand l’orage et la foudre l’ont fracassé, la cicatrice reste toujours, même lorsque le printemps revient.

Frédéric Soulié : Les mémoires du diable

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