Je crois que c’est le propre de l’amour, de ne pouvoir demeurer le même ; d’être forcé de croître, sous peine de diminuer ; et que c’est là ce qui le distingue de l’amitié. André Gide
Je crois que c’est le propre de l’amour, de ne pouvoir demeurer le même ; d’être forcé de croître, sous peine de diminuer ; et que c’est là ce qui le distingue de l’amitié.
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