Les femmes sont habituées, par je ne sais quelle pente de leur esprit, … – Honoré de Balzac

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Les femmes sont habituées, par je ne sais quelle pente de leur esprit, à ne voir dans un homme de talent que ses défauts, et dans un sot que ses qualités; elles éprouvent de grandes sympathies pour les qualités du sot, qui sont une flatterie perpétuelle de leurs propres défauts, tandis que l’homme supérieur ne leur offre pas assez de jouissances pour compenser ses imperfections.
Honoré de Balzac [ La comédie humaine ]

Honoré de Balzac

Extrait de La Comédie humaine.

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