On se presse, on se hâte, bien qu’il y ait amplement le temps. Le passé, le continent sont déjà laissés en arrière ; le futur, c’est l’ouverture béante dans le flanc du navire ; le bord du quai avec toute sa turbulence et sa confusion, c’est le présent. Une fois la passerelle franchie, la vision du monde s’ordonne, se rétrécit.
On se presse, on se hâte, bien qu’il y ait amplement le temps. Le passé, le continent sont déjà laissés en arrière ; le futur, c’est l’ouverture béante dans le flanc du navire ; le bord du quai avec toute sa turbulence et sa confusion, c’est le présent. Une fois la passerelle franchie, la vision du monde s’ordonne, se rétrécit. Francis Scott Fitzgerald