Fondez une société des honnêtes gens, tous les voleurs en seront. Emile Auguste Chartier : Propos d’un normand
Emile Auguste Chartier : Histoire de mes pensées
Le plus difficile au monde est de dire en y pensant ce que tout le monde dit sans y penser. Emile Auguste Chartier : Histoire de mes pensées
Madeleine des Roches : Oeuvre inconnue
Veux-tu savoir passant, quel a été mon être? Sache que la nature, et fortune, et les cieux, Noble, riche, et savant autrefois m’ont fait naître, Me rendant possesseur de leurs dons précieux. Après avoir vécu d’une louable vie, Je fus pris d’un catère, et maintenant le sort Des Parques me guérit de cette maladie: Je … Lire la suite
Jean Antoine Petit-Senn : Oeuvre inconnue
Quand nous mettons le bonheur dans les choses qui nous manquent, d’autres le voient dans une seule de celles que nous possédons. Jean Antoine Petit-Senn : Oeuvre inconnue
Edouard Lefebvre de Laboulaye : Oeuvre inconnue
Il n’y a pas inégalité sociale parce que l’un est riche et que l’autre est pauvre; il y a inégalité sociale quand l’un est ignorant et que l’autre est instruit. Et malgré toutes les révolutions, jamais celui qui ne sait rien ne sera l’égal de celui qui sait quelque chose. Edouard Lefebvre de Laboulaye : … Lire la suite
John Lubbock : Oeuvre inconnue
Le vrai moyen de tirer profit et agrément de sa situation c’est d’apprécier et d’aimer ce qu’on possède en évitant de croire préférable ce qu’on n’a pas. John Lubbock : Oeuvre inconnue
Auteur inconnu : Oeuvre inconnue
De leur meilleur côté tâchons de voir les choses. Vous vous plaignez de voir les rosiers épineux, Moi, je me réjouis et rends grâce aux dieux Que les épines aient des roses. Auteur inconnu : Oeuvre inconnue
Anne Thérèse de Marguenat de Courcelles : Oeuvre inconnue
Dans les commencements, les passions obéissent et dans la suite elles commandent: elles sont plus faciles à vaincre qu’à contenter. Anne Thérèse de Marguenat de Courcelles : Oeuvre inconnue
Arthur Rimbaud : Oeuvre inconnue
La chambre est pleine d’ombre; on entend vaguement De deux enfants le triste et doux chuchotement. Leur front se penche, encore, alourdi par le rêve; Sous le long rideau blanc qui tremble et se soulève… – Au dehors les oiseaux se rapprochent frileux; Leur aile s’engourdit sous le ton gris des cieux; Et la nouvelle … Lire la suite
Victor Hugo : Les misérables
Elle étonne à dix pas, elle épouvante à deux, Une verrue habite en son nez hasardeux; On tremble à chaque instant qu’elle ne vous la mouche Et qu’un beau jour son nez ne tombe dans sa bouche. Victor Hugo : Les misérables