Vous êtes belle : on vous adore. Vous êtes jeune : on vous sourit. Si un amour pourrait éclore Dans ce cœur où rien ne luit. Ce sourire de ma tristesse Se tournerait, reflet lointain, Vers l’or cendré de votre tresse, Vers le blanc mat de votre main. Fernando Pessoa
Vous êtes belle : on vous adore. Vous êtes jeune : on vous sourit. Si un amour pourrait éclore Dans ce cœur où rien ne luit. Ce sourire de ma tristesse Se tournerait, reflet lointain, Vers l’or cendré de votre tresse, Vers le blanc mat de votre main.
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