Victor Hugo : Actes et paroles

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Parfois, malgré la défense, je m’aventurais jusqu’au hallier farouche du fond du jardin; rien n’y remuait que le vent, rien n’y parlait que les nids, rien n’y vivait que les arbres; et je considérais à travers les branches la vieille chapelle dont les vitres défoncées laissaient voir la muraille intérieure bizarrement incrustée de coquillages marins. Les oiseaux entraient et sortaient par les fenêtres. Ils étaient là chez eux. Dieu et les oiseaux, cela va ensemble.

Victor Hugo : Actes et paroles

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