Les douleurs ne sont point éternelles: il faut tôt ou tard qu’elles finissent, parce que le coeur de l’homme est fini; c’est une de nos grandes misères: nous ne sommes pas mêmes capables d’être longtemps malheureux. François-René de Chateaubriand : Atala, ou les amours de deux sauvages dans le désert
Archives mensuelles : septembre 2011
François Carcopino-Tusoli : Oeuvre inconnue
C’est toujours la même chanson, O mon amour que je fredonne: Tout ce que j’ai je te le donne, Nos coeurs battent à l’unisson. François Carcopino-Tusoli :
Monsieur Baraton : Oeuvre inconnue
Un jour le grand Renaud disait dans sa colère: « Peste soit des cocus, ils me font enrager. Fussent-ils tous dans la rivière! » « Mon mari, dit Catin, tu ne sais point nager, Hélas! Comment pourrais-tu faire? » Monsieur Baraton :
Isaac de Benserade : Oeuvre inconnue
Ci-gît un bon mari dont l’exemple est à suivre, Patient au-delà du temps qu’il a vécu, Qui pour avoir cessé de vivre, Ne cessa pas d’être cocu. Isaac de Benserade :
François-Marie Arouet : Oeuvre inconnue
Qui que tu sois, voici ton maître: Il l’est, le fut, ou le doit être. François-Marie Arouet :
Guillaume Apollinaire : Poèmes à Lou
Lorsque deux nobles coeurs se sont vraiment aimés Leur amour est plus fort que la mort elle-même Cueillons les souvenirs que nous avons semés Et l’absence après tout n’est rien lorsque l’on s’aime. Guillaume Apollinaire : Poèmes à Lou
François de Malherbe : Oeuvre inconnue
Tu vois, passant, la sépulture D’un chef-d’œuvre si précieux Qu’avoir mille rois pour aïeux Fut le moins de son aventure. O quel affront à la nature, Et quelle injustice des cieux, Qu’un moment ait fermé les yeux D’une si belle créature! On doute pour quelle raison Les destins si hors de saison De ce monde … Lire la suite