A force de dire que l’être humain se conduit comme un rat qu’on oblige à se conduire comme un être humain conditionné par d’autres êtres humains qui se conduisent comme des rats, on oubliait de dire que l’être humain peut aussi se conduire comme un papillon.
A force de dire que l’être humain se conduit comme un rat qu’on oblige à se conduire comme un être humain conditionné par d’autres êtres humains qui se conduisent comme des rats, on oubliait de dire que l’être humain peut aussi se conduire comme un papillon. François Weyergans