C’est drôle comme on s’habitue à tout. Avant l’arrivée des Russes, on tremblait. On se les figurait comme des monstres. Or, ce sont juste des hommes.
C’est drôle comme on s’habitue à tout. Avant l’arrivée des Russes, on tremblait. On se les figurait comme des monstres. Or, ce sont juste des hommes. Sarah Cohen-Scali