C’est pourtant clair. En Globalia, tout semble à la fois bouger sans cesse et rester immobile. Il n’y a que deux dimensions : le présent, c’est-à-dire la réalité, et le virtuel où l’on fourre tout ensemble l’imaginaire, le futur et le peu qu’il reste du passé.
C’est pourtant clair. En Globalia, tout semble à la fois bouger sans cesse et rester immobile. Il n’y a que deux dimensions : le présent, c’est-à-dire la réalité, et le virtuel où l’on fourre tout ensemble l’imaginaire, le futur et le peu qu’il reste du passé. Jean-Christophe Rufin