C’est toujours la faute de celui qui meurt. Enfin le bon de cette profession est qu’il y a parmi les morts une honnêteté, une discrétion la plus grande du monde et jamais on n’en voit se plaindre du médecin qui l’a tué.
C’est toujours la faute de celui qui meurt. Enfin le bon de cette profession est qu’il y a parmi les morts une honnêteté, une discrétion la plus grande du monde et jamais on n’en voit se plaindre du médecin qui l’a tué. Molière