Ceux qui ont disparu mêlent leurs visages au nôtre. Nous sommes étroitement liés, souterrainement, dans une métamorphose incessante. C’est pourquoi il est impossible de définir aussi bien la vie que la mort. On ne peut que parler d’une sorte de flux qui sans arrêt se transforme, s’assombrit puis s’éclaire de façon toujours surprenante. La mort a beaucoup de vertus, notamment celle du réveil. Elle nous ramène à l’essentiel, vers ce à quoi nous tenons vraiment.

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Ceux qui ont disparu mêlent leurs visages au nôtre. Nous sommes étroitement liés, souterrainement, dans une métamorphose incessante. C’est pourquoi il est impossible de définir aussi bien la vie que la mort. On ne peut que parler d’une sorte de flux qui sans arrêt se transforme, s’assombrit puis s’éclaire de façon toujours surprenante. La mort a beaucoup de vertus, notamment celle du réveil. Elle nous ramène à l’essentiel, vers ce à quoi nous tenons vraiment.

Ceux qui ont disparu mêlent leurs visages au nôtre. Nous sommes étroitement liés, souterrainement, dans une métamorphose incessante. C’est pourquoi il est impossible de définir aussi bien la vie que la mort. On ne peut que parler d’une sorte de flux qui sans arrêt se transforme, s’assombrit puis s’éclaire de façon toujours surprenante. La mort a beaucoup de vertus, notamment celle du réveil. Elle nous ramène à l’essentiel, vers ce à quoi nous tenons vraiment. Christian Bobin

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