Il vit aussi que les arts, dirigés par la véritable philosophie, développaient les hommes, ennoblissaient leur existence ; que la civilisation formait la moitié de la vie, et que, sans elle, les hommes seraient les plus malheureux des êtres.
Il vit aussi que les arts, dirigés par la véritable philosophie, développaient les hommes, ennoblissaient leur existence ; que la civilisation formait la moitié de la vie, et que, sans elle, les hommes seraient les plus malheureux des êtres. Christoph Martin Wieland