Je compare la prose française à la fameuse
vague d’Hokusaï qui, après d’immenses et puissantes ondulations,vient enfin déferler sur la rive en un panache
d’écume et de petits oiseaux. Ces oiseaux merveilleux, ce sont les phrases de Maurice de Guérin et d’Arthur Rimbaud.
Je compare la prose française à la fameuse
vague d’Hokusaï qui, après d’immenses et puissantes ondulations,vient enfin déferler sur la rive en un panache
d’écume et de petits oiseaux. Ces oiseaux merveilleux, ce sont les phrases de Maurice de Guérin et d’Arthur Rimbaud. Paul Claudel