Je saisis à votre chevet que l’invalidité n’existe pas, qu’elle n’est elle aussi qu’une création de l’esprit. Certes, il y a les contraintes, les terribles contraintes, les douleurs, et les renoncements ; il y a tout ce que l’on ne peut pas faire, tout ce que l’on ne peut plus faire. Mais si l’esprit demeure, si la force d’inventer est intacte, on peut vivre, vivre vraiment, intensément, et espérer le bonheur.
Je saisis à votre chevet que l’invalidité n’existe pas, qu’elle n’est elle aussi qu’une création de l’esprit. Certes, il y a les contraintes, les terribles contraintes, les douleurs, et les renoncements ; il y a tout ce que l’on ne peut pas faire, tout ce que l’on ne peut plus faire. Mais si l’esprit demeure, si la force d’inventer est intacte, on peut vivre, vivre vraiment, intensément, et espérer le bonheur. Guillaume de Fonclare