Pour s’apercevoir de cette réalité il suffit de se rendre dans une grande cité urbaine et de regarder défiler les individus qui restent prisonniers de leurs propres perceptions primitives : la vue, l’ouïe, le toucher, le goût et l’odorat. Ces personnages se contentent de progresser dans un monde qui semble immobile (comme figé dans l’espace-temps) et dans lequel la vie n’existe plus.

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Pour s’apercevoir de cette réalité il suffit de se rendre dans une grande cité urbaine et de regarder défiler les individus qui restent prisonniers de leurs propres perceptions primitives : la vue, l’ouïe, le toucher, le goût et l’odorat. Ces personnages se contentent de progresser dans un monde qui semble immobile (comme figé dans l’espace-temps) et dans lequel la vie n’existe plus. Etienne Gargano

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