Pourtant, si la lecture n’est pas un acte de communication immédiate, elle est, finalement, objet de partage. Mais un partage longuement différé, et farouchement sélectif. Si nous faisions la part des grandes lectures que nous devons à l’École, à la Critique, au camarade de classe, voire même à la famille – quand elle ne range pas les livres dans le placard de l’éducation – le résultat serait clair : ce que vous avons lu de plus beau, c’est le plus souvent à un être cher que nous le devons. Et c’est à un être cher que nous en parlerons d’abord.

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Pourtant, si la lecture n’est pas un acte de communication immédiate, elle est, finalement, objet de partage. Mais un partage longuement différé, et farouchement sélectif. Si nous faisions la part des grandes lectures que nous devons à l’École, à la Critique, au camarade de classe, voire même à la famille – quand elle ne range pas les livres dans le placard de l’éducation – le résultat serait clair : ce que vous avons lu de plus beau, c’est le plus souvent à un être cher que nous le devons. Et c’est à un être cher que nous en parlerons d’abord.

Pourtant, si la lecture n’est pas un acte de communication immédiate, elle est, finalement, objet de partage. Mais un partage longuement différé, et farouchement sélectif. Si nous faisions la part des grandes lectures que nous devons à l’École, à la Critique, au camarade de classe, voire même à la famille – quand elle ne range pas les livres dans le placard de l’éducation – le résultat serait clair : ce que vous avons lu de plus beau, c’est le plus souvent à un être cher que nous le devons. Et c’est à un être cher que nous en parlerons d’abord. Daniel Pennac

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