Si la masse était émotive, il n’y aurait plus de guerres, plus de boucheries. Les moments émus de la masse tournent vite à l’hystérie, à la sauvagerie, au pillage, au sacrifice.
Si la masse était émotive, il n’y aurait plus de guerres, plus de boucheries. Les moments émus de la masse tournent vite à l’hystérie, à la sauvagerie, au pillage, au sacrifice. Christine Angot