Nos mémoires ne doivent jamais faire de nous des prisonniers de nos mauvais souvenirs où le passé sème la confusion en gâchant tous nos instants présents. Chaque jour le bonheur tout comme les imprévus nous rappelle que le temps ne s’inverse pas.

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Nos mémoires ne doivent jamais faire de nous des prisonniers de nos mauvais souvenirs où le passé sème la confusion en gâchant tous nos instants présents. Chaque jour le bonheur tout comme les imprévus nous rappelle que le temps ne s’inverse pas. Nos mémoires ne doivent jamais faire de nous des prisonniers de nos mauvais … Lire la suite­­

À force de lire, de parler de livres et de nous disputer à cause d’eux, nous en sommes venus à nous lier étroitement les uns aux autres.

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À force de lire, de parler de livres et de nous disputer à cause d’eux, nous en sommes venus à nous lier étroitement les uns aux autres. À force de lire, de parler de livres et de nous disputer à cause d’eux, nous en sommes venus à nous lier étroitement les uns aux autres. Annie … Lire la suite­­

L’amour est beau dans les livres, sur des images, au cinéma. L’amour, le vrai, celui qui compte, c’est celui de la vie quotidienne celui-là, on n’en parle jamais parce qu’il n’est pas facile à représenter

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L’amour est beau dans les livres, sur des images, au cinéma. L’amour, le vrai, celui qui compte, c’est celui de la vie quotidienne celui-là, on n’en parle jamais parce qu’il n’est pas facile à représenter L’amour est beau dans les livres, sur des images, au cinéma. L’amour, le vrai, celui qui compte, c’est celui de … Lire la suite­­

C’est d’abord un combat contre les parents et ensuite un combat contre les maîtres qu’il faut mener et gagner, et mener et gagner avec la brutalité la plus impitoyable, si le jeune être humain ne veut pas être contraint à l’abandon par les parents et par les maîtres et par là être détruit et anéanti.

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C’est d’abord un combat contre les parents et ensuite un combat contre les maîtres qu’il faut mener et gagner, et mener et gagner avec la brutalité la plus impitoyable, si le jeune être humain ne veut pas être contraint à l’abandon par les parents et par les maîtres et par là être détruit et anéanti. … Lire la suite­­

La Providence a sûrement donné la mauvaise humeur aux vieillards et aux malades, par compassion pour les amis et les parents qui doivent leur survivre : il était naturel qu’elle cherchât à diminuer le regret de leur perte.

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La Providence a sûrement donné la mauvaise humeur aux vieillards et aux malades, par compassion pour les amis et les parents qui doivent leur survivre : il était naturel qu’elle cherchât à diminuer le regret de leur perte. La Providence a sûrement donné la mauvaise humeur aux vieillards et aux malades, par compassion pour les … Lire la suite­­