On met la femme au singulier quand on a du bien à en dire, et on en parle au pluriel sitôt qu’elle vous a fait quelque méchanceté. Alexandre Georges-Pierre Guitry : N’écoutez pas mesdames
On met la femme au singulier quand on a du bien à en dire, et on en parle au pluriel sitôt qu’elle vous a fait quelque méchanceté. Alexandre Georges-Pierre Guitry : N’écoutez pas mesdames