Vivre, c’est un peu comme quand on danse : on a plaisir à commencer- un piston, une clarinette- on a plaisir à s’arrêter- le trombone est essoufflé- on a regret d’avoir fini, la tête tourne et il fait nuit.
Vivre, c’est un peu comme quand on danse : on a plaisir à commencer- un piston, une clarinette- on a plaisir à s’arrêter- le trombone est essoufflé- on a regret d’avoir fini, la tête tourne et il fait nuit. Charles Ferdinand Ramuz